La deuxième verrière au nord du déambulatoire est consacrée au premier évêque de Clermont, saint Austremoine.
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Son existence est attestée par Grégoire de Tours, mais c’est au Xe siècle que la première vie du saint apparaît dans un manuscrit de Clermont, le Ms 147. Grégoire de Tours l’avait mentionné comme confesseur : les « vies » suivantes le présentent comme martyr, et c’est comme martyr qu’il restera dans la liturgie de Clermont jusqu’au XVIIIe siècle. L’histoire du saint est suivi par la translation, de ses reliques, d’abord à Volvic, puis à Mozac.
Le récit se déroule dans trois fenêtres, et c’est par la fenêtre de droite qu’il faut commencer la lecture. De même que les autres verrières, la recomposition au XXe est fautive, des médaillons ont été éparpillés, d’autres ont été incompris.
De façon schématique, la fenêtre de droite évoque la vie du saint, la fenêtre centrale son martyr et la découverte des reliques, ainsi que son transfert à Mozac. La troisième fenêtre expose les miracles produits par ses reliques.
Nous présentons ici la lecture de la verrière telle qu’elle a été remontée par Gaudin, et expliquée par Du Ranquet.
